« Celui qui m’a le plus marqué est M. Chieze, professeur de français, latin et grec au cours Pollès à Paris dans les années 1960. C’était un méridional, un pur produit de la méritocratie républicaine. Loin d’être pour lui une routine, l’enseignement le galvanisait.
Il ne m’a pas fait découvrir la littérature, mais il m’a ancré dans l’idée qu’elle était la clé que je cherchais pour m’évader du désarroi de l’adolescence et trouver un sens à la vie.
Il m’a communiqué l’amour de la Grèce antique et de sa lumière. Il m’a montré que la littérature pouvait être un instrument au service du destin, un outil pour élargir la vie et ouvrir un horizon infini. »
Jean-Marie ROUART, écrivain, académicien.

« Notre fils Thomas vient d’obtenir son Baccalauréat S. Nous en sommes très heureux et il doit ce succès prioritairement à son travail et à sa volonté de réussir. Cependant, nous pensons que la qualité de votre école a eu un effet déterminant sur cette réussite. D’abord, et pour la première fois de sa scolarité Thomas s’est déclaré heureux dans son environnement scolaire. Ensuite, il a eu le sentiment, très important pour lui, d’être traité avec respect par ses professeurs. Enfin, il a ressentit que les professeurs ne le traitaient pas «  du haut de leur savoir » mais participaient de manière solidaire avec les élèves de manière que les cours soient compris et non pas seulement appris. »
Anne et Jean-Jacques L.

« Je fais suite à notre entretien téléphonique de ce jour, afin que vous partagiez avec votre équipe tous nos remerciements et vous dire combien vous avez réussi à faire reprendre confiance à Alban, ainsi qu’à bon nombre de ses camarades, grâce à vos qualités pédagogiques. Transmettez, cher Monsieur, tous nos compliments à l’ensemble des professeurs de Terminale. »
Marie et Max C.